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5 erreurs fréquentes lors de la création d’un logo

5 erreurs fréquentes lors de la création d’un logo (et comment les éviter)​ Créer un logo, c’est bien plus que dessiner un joli symbole. C’est traduire l’essence d’une marque en une image simple, mémorable et percutante. Pourtant, beaucoup de créateurs, entrepreneurs ou même designers tombent dans des pièges classiques. Dans cet article, je te partage les 5 erreurs les plus courantes que j’ai observées (ou commises moi-même 😅), et surtout comment les éviter intelligemment. Suivre les tendances à tout prix L’erreur : Sauter sur la dernière tendance (flat design, logo en dégradé, lettrage manuscrit…) en espérant être « dans le coup ». Pourquoi c’est un problème : Un logo doit durer. Les modes passent, mais l’identité de ta marque doit rester cohérente et reconnaissable dans le temps. ✅ Comment l’éviter : Inspire-toi des tendances sans t’y enfermer. Privilégie la pertinence par rapport à la marque plutôt que l’effet « waouh » temporaire. Demande-toi : ce style correspond-il vraiment aux valeurs de la marque ? Trop de détails dans le design L’erreur : Un logo ultra-complexe, rempli d’éléments graphiques, de textures, ou de typographies mélangées. Pourquoi c’est un problème : Un bon logo fonctionne aussi bien en miniature (favicon, réseaux sociaux) qu’en grand format. Trop de détails le rendent illisible, surtout en noir et blanc. ✅ Comment l’éviter : Adopte la règle du “less is more”. Pense au logo comme un pictogramme : identifiable en un coup d’œil. Teste-le en petit format pour vérifier sa lisibilité. Utiliser une typographie non travaillée L’erreur : Se contenter d’une police générique (souvent vue et revue) sans adaptation. Pourquoi c’est un problème : La typographie transmet énormément de personnalité. Une fonte mal choisie ou mal travaillée peut rendre le logo impersonnel ou bancal. ✅ Comment l’éviter : Travaille la typographie comme un élément identitaire à part entière. Même une fonte simple peut être personnalisée (approche, ligatures, détails). Et si tu crées ta propre typo (👀), c’est encore mieux ! Ignorer la symbolique des couleurs L’erreur : Choisir des couleurs “parce que c’est joli”, sans lien avec les valeurs ou le positionnement de la marque. Pourquoi c’est un problème : Les couleurs influencent la perception émotionnelle d’une marque. Une couleur incohérente peut brouiller le message. ✅ Comment l’éviter : Fais une recherche sur la psychologie des couleurs. Assure-toi que la palette choisie est cohérente avec le ton, la cible et le secteur d’activité. Négliger la déclinaison du logo L’erreur : Créer un logo unique… qui ne fonctionne que sur fond blanc, ou qui n’a pas de version simplifiée. Pourquoi c’est un problème : Un bon logo doit s’adapter à tous les supports : print, digital, réseaux, objets, etc. ✅ Comment l’éviter : Pense en systèmes : logo principal, version simplifiée, pictogramme seul, version monochrome, etc. Prépare une charte graphique minimale dès le départ. Conclusion Créer un logo efficace, c’est un subtil équilibre entre esthétisme, stratégie et fonctionnalité. En évitant ces erreurs, tu poses les bases d’une identité visuelle forte, cohérente et durable. Tu veux aller plus loin ? Je peux t’aider à créer un logo sur-mesure, aligné à 100 % avec ton univers de marque.

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En panne d’inspiration ?

Tu connais cette sensation, n’est-ce pas ? Cette page blanche qui te regarde fixement. Ce projet qui te passionnait hier mais qui, aujourd’hui, ne t’inspire plus du tout. Tu n’es pas seul. On passe tous par là. Et tu sais quoi ? C’est normal. L’inspiration, ce n’est pas une source infinie. C’est une énergie vivante, qui a parfois besoin de repos… ou d’un bon coup de pouce. Alors si tu es à court d’idées en ce moment, respire un coup, détends-toi, et laisse-moi te partager quelques clés pour raviver ta créativité. Laisse de la place à l’ennui Ça peut paraître bizarre, mais parfois, c’est en ne faisant rien que les meilleures idées arrivent. Range ton ordi, déconnecte un moment, va marcher sans but précis. Ton cerveau a besoin de silence pour faire jaillir une étincelle. Les idées aiment venir quand on les attend le moins. Change d’angle, bouscule les habitudes Et si tu regardais ton problème autrement ? Essaie de penser à l’envers, d’ajouter une contrainte, par exemple : « Et si je devais faire ce projet en 1h ? », ou « Comment est-ce que quelqu’un de totalement différent de moi le ferait ? ». Ces petits jeux mentaux peuvent débloquer beaucoup de choses. Va voir ailleurs Quand on n’a plus rien en tête, c’est souvent qu’on tourne en rond dans le même cadre. Alors, ouvre une fenêtre sur autre chose : regarde un film que tu n’aurais jamais choisi, lis un article dans un domaine opposé au tien, écoute un podcast d’un inconnu passionné… L’inspiration, c’est souvent une connexion entre deux idées inattendues. Parle de ton blocage (et arrête de culpabiliser) Le manque d’idées ne veut pas dire que tu n’es pas créatif·ve. C’est juste une pause. Et parfois, en en parlant à quelqu’un, un collègue, un ami, ou même une communauté en ligne, on débloque plus de choses qu’en se forçant à réfléchir seul·e dans son coin. Les autres peuvent te renvoyer une idée, une énergie, ou une perspective que tu ne voyais pas. Reviens à tes racines Replonge dans ce que tu as déjà fait. Regarde tes anciennes créations, relis ton carnet de notes, revisite tes premières envies. Tu y trouveras peut-être des idées laissées de côté, ou simplement une étincelle de ce qui t’animait au départ. Ce feu est encore là, crois-moi. Crée même sans inspiration (oui, tu peux) Et si tu arrêtais d’attendre que l’inspiration revienne pour te remettre à créer ? Parfois, c’est l’action qui ramène les idées. Écris n’importe quoi, dessine sans réfléchir, teste une idée bancale. Ce ne sera peut-être pas génial… mais c’est souvent comme ça qu’on redémarre. Conclusion : tu es toujours créatif·ve, même dans le creux Si tu es en panne d’inspiration, ce n’est pas une faiblesse. C’est juste une phase. Elle passera. Sois indulgent·e avec toi-même, essaie une ou deux de ces idées, et surtout… n’abandonne pas. Ton cerveau est plus riche que tu ne le crois. La flamme est toujours là, il suffit parfois d’un souffle pour la rallumer.

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LinkedIn intensif

30 jours, 30 publications, voici ce que j’ai découvert Introduction En avril, je me suis lancée un défi un peu fou : LinkedIn intensif : publier 1 post par jour pendant 30 jours sur LinkedIn.Le but ? Sortir de ma zone de confort, faire connaître mon travail, et tester le vrai pouvoir de la régularité. Je suis graphiste freelance depuis quelques années, et depuis peu à temps plein. À travers ce challenge, je voulais me faire davantage connaître et (re)découvrir cette plateforme sur laquelle je suis inscrite depuis longtemps… sans vraiment y avoir été active. Aujourd’hui, je partage avec vous le bilan de cette expérience : mes résultats, ce que j’en ai appris, les difficultés rencontrées, et quelques conseils si vous souhaitez, vous aussi, vous lancer. Tu veux voir mon profil LinkedIn : c’est par ici  1. Le challenge : comment je m’y suis prise Pour être la plus régulière possible, j’ai mis en place quelques outils. J’ai utilisé Notion pour créer un tableau de publication et suivre ma progression. Je pouvais ainsi visualiser rapidement où j’en étais dans la planification de mes posts. Car oui, je les préparais à l’avance, en général semaine par semaine. J’ai varié les types de contenus : posts éducatifs, présentations de mon travail, inspirations, conseils, coulisses de ma vie de freelance, réflexions sur LinkedIn… et même un peu sur mon voyage personnel. Comme à chaque fois que je sors de ma zone de confort, j’avais peur :→ peur d’être jugée (merci le syndrome de l’imposteur)→ peur de passer inaperçue→ peur de créer un débat… et de ne pas savoir le gérer (spoiler : c’est arrivé) 2. Les résultats Oui, certains de mes posts sont passés complètement inaperçus : très peu d’impressions, zéro interaction.Mais d’autres, au contraire, ont cartonné (selon mes standards du moment). Par exemple :➡️ Un post a dépassé 2000 impressions➡️ Un autre a généré plus de 370 réactions et une vingtaine de commentaires Ce dernier portait sur les typographies non-binaires — un sujet qui a fait débat.Honnêtement, j’ai été dépassée par l’ampleur des réactions et je n’ai pas pris part à la discussion. Je n’ai même pas défendu mon propos. Je partageais simplement une info, et je ne m’attendais pas à ce que cela déclenche autant de désaccords. Autre observation :🔎 Je n’ai jamais eu autant de trafic sur mon profil👥 J’ai reçu beaucoup de demandes de contact📩 Mais aucun nouveau prospect à ce jour. J’imagine que ça viendra, mais cela demande sans doute plus de temps et de régularité. 🎯 Le type de post qui fonctionne : ceux qui créent du débat, que les gens partagent, commentent, qui font réagir.📉 Ceux qui marchent le moins : les tout premiers, notamment ceux où je parlais simplement de mon challenge. Je parlais de moi, sans réel apport pour la communauté. 3. Ce que j’ai appris J’ai appris énormément au fil de ce mois. 🧠 D’abord, la rigueur : 30 jours, 30 posts, c’est un vrai engagement. Louper un jour ou publier en décalé, c’était pour moi renvoyer une image d’inconstance. J’ai donc tenu bon, même les jours où l’envie n’était pas là. 🎯 J’ai compris que mon audience aimait : 🌱 J’ai aussi compris que sortir de sa zone de confort est toujours inconfortable, mais toujours bénéfique.Et je me suis noté une chose importante : je dois apprendre à défendre mes propos, même sur les réseaux. Curieusement, c’est plus facile pour moi dans la vraie vie que derrière un écran. 4. Les difficultés (parce qu’il y en a !) Eh oui, il y a eu des galères.📌 La première : la pression de devoir poster tous les jours📌 Ensuite : l’angoisse du flop, du vide, ou du débat imprévu📌 Et bien sûr : le manque d’inspiration certains jours📌 Sans oublier : le temps que tout cela demande ! Préparer des contenus, créer des visuels, écrire les textes, programmer… ça prend du temps. Beaucoup plus que ce qu’on imagine au départ. 5. Ce que je ferais différemment (et ce que je continue) ✔️ Je vais continuer à publier, mais à un rythme plus léger : 1 à 2 fois par semaine.✔️ Je vais m’écouter davantage : publier selon ce que j’ai à dire, plutôt que de me forcer.✔️ Je vais aussi recycler mes posts Instagram sur LinkedIn, car les audiences sont différentes — c’est un vrai gain de temps.✔️ Je compte partager également des articles de blog, pour leur donner plus de visibilité.✔️ Je continuerai à publier le matin, en semaine uniquement (le week-end, LinkedIn est une ville fantôme…).✔️ Enfin, je garderai le format carrousel, qui a très bien fonctionné. Conclusion Je suis fière de m’être lancée ce défi, et surtout de m’y être tenue.J’en ressors avec plus de clarté, de discipline, et une vraie envie de continuer. Si tu te demandes si ça vaut le coup de publier sur LinkedIn, ma réponse est OUI — mais pas n’importe comment.✨ Trouve ton rythme.✨ Ose la spontanéité.✨ Et surtout… tiens sur la durée.

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